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HUE  &  SES  TOMBEAUX ROYAUX

 

En bordure de la rivière des Parfums, le Song Huong, la ville est entourée de cinq collines symbolisant les cinq éléments (bois, feu, air, métal, eau). La colline située au sud, " l'Ecran Royal ", joue un rôle spécifique de protection contre les influences magiques néfastes attribuées à cette direction .

Entre Saigon l’Insouciante et Hanoi la Laborieuse, voici HUE la  Poétique. Hue a toujours séduit le voyageur par le cadre enchanteur de sa Rivière des Parfums, le charme vétuste de ses tombeaux royaux ou la grâce de ses jeunes filles en tuniques blanches. En 1982, M’bow, alors directeur de l’Unesco, vit en elle un “ chef d’oeuvre de poésie urbain “.

Celle qui, au XIX e et au début XXème siècle, possédait les palais les plus luxueux d’Asie du Sud-Est, les jardins les plus ravissants, a  malheureusement énormément souffert des guerres et révoltes. Aujourd’hui, elle n’est plus que l’ombre de ce qu’elle fût. Capitale abandonnée, il y règne pourtant toujours un charme indéfinissable, provenant en grande partie sans doute du rythme de vie paisible qui est le sien. Hue semble à l’écart de la volonté effrénée de puissance économique qui semble, à l’opposé, animer les deux autres métropoles.

Hue est avant tout la ville des lettrés, la ville des poètes, et qu’ils sont des dizaines, des centaines peut-être, à avoir chanter les louanges de leur cité, finissant parfois par l’embellir. Même au plus fort des combats avec les américains, le lettré, Nguyen Khac Vien trouve encore la force de crier son amour : “ Nous l’aimons  entre toutes, cette ville où, au milieu de douces collines, la Rivière des Parfums déroule nonchalamment son écharpe scintillante, le lettré qui y venait tenter sa chance dans les concours mandarinaux ne pouvait la quitter, séduit par la grâce des jeunes filles aux robes ondoyantes, le voyageur s’attache profondément à cette terre, envoûté aussi bien par le charme des palais et des jardins que par le caractère raffiné de la cuisine et du parlé. Le soir, lorsque des sampans qui glissent sans bruit sur la rivière, montent les mélopées des batelières, on se sent invinciblement lié à cette ville de beauté qui n’a ni usine ni commerce, mais qui secrète par tous ses pores une indéfinissable douceur de vivre.

 
LES  TOMBEAUX  ROYAUX

Les Nguyen très impressionnés par la culture chinoise, firent construire une cité royale qui ressemble comme deux gouttes d’eau à la Cité impériale de Pékin, mais à la manière des Ming, ils voulurent se construire des tombeaux à proximité. En cela, ils rompaient complètement avec les Lé postérieurs, dont les dépouilles mortelles avaient été enfouies dans de simples tombeaux en pierre ou en maçonnerie à Lam Son (Thanh Hoa), la ville natale des fondateurs de la dynastie. Les rois Nguyen ont fait édifier de leur vivant leurs propres sépultures ce qui leur a permis de surveiller les travaux. Ils étaient inspirés par une ancienne croyance populaire : « l’âme du défunt continue de vivre dans l’au-delà, il faut s’occuper d’elle, lui faire des présents, la protéger contre les mauvais génies, il faut par conséquent laisser son corps à proximité et assurer la pérennité de son souvenir... ».

Pour chaque tombeau, on trouve quatre voire cinq composantes identiques. Ce qui fait la différence entre tous ces tombeaux : c’est l’agencement et la mise en valeur des traits de la personnalité du roi.

La Cour d’Honneur, appelée parfois Cour des Audiences est généralement une terrasse s’élevant en gradins ( semblable à celle qui précédait la salle du Trône dans la citadelle ), et sur laquelle étaient célébrées les cérémonies rituelles. On y trouve presque toujours des statues de mandarins, de soldats, de chevaux et d’éléphants.

Le premier édifice est une stèle ou le pavillon de la stèle. Il est dédié à la mémoire du roi défunt, dont les hauts faits ( le plus souvent grandement exagérés ) sont gravés sur une stèle de pierre.

Le deuxième édifice est le temple du culte, il est consacré à l’âme, avec un autel sur lequel sont disposés la tablette funéraire et les objets familiers.

La dernière construction principale est destinée à la dépouille corporelle, c’est le tombeau proprement dit. Dans certains cas, il s’agit d’un tombeau symbolique, le corps étant enterré dans un autre endroit secret, à l’abri des vandales et des rebelles.

Une ou deux enceintes entourent chacun des monuments, celle qui entoure le tombeau porte le nom de Mur Précieux et généralement close par une porte de bronze, destinée à n’être ouverte qu’une fois par an.

Enfin, on trouve des bâtiments annexes, certains élevés à la mémoire des ancêtres, d’autres destinés à loger les épouses et concubines après la mort. Ces dernières étaient censées faire brûler de l’encens quotidiennement à la mémoire du défunt.

L’espace consacré aux tombeaux royaux Nguyen n’avait pas de limites faisant penser à de véritables nécropoles. Le plus grand d’entre eux, celui de Gia Long s’étendait sur pas moins de 2875 hectares et celui de Tu Duc, pourtant l’un des plus petits, sur 225 hectares.

 

Ø                   LE TOMBEAU DE MINH MANG

Il offre un grand intérêt parce que celui-ci se rapproche le plus des sculptures Ming de Pékin. Il se trouve sur la rive gauche de la Rivière des Parfums, au confluent de deux petits affluents de la rivière, à une douzaine de kilomètres de Hué.

Minh Mang ( 1820 – 1840 ), deuxième roi de la dynastie et quatrième fils de Gia Long, est à peu près le seul souverain avec son père, qui ait adopté un plan d’ensemble, en plaçant les différents bâtiments suivant l’axe même du tombeau ; les constructions annexes sont situées sur les collines avoisinantes, séparées par deux pièces d’eau creusées à mains d’hommes...De magnifiques allées bordées d’arbres de toutes essences procurent une ombre bienfaisante lors de la visite.

Contrairement à la plupart des autres tombeaux, et bien que dessiné par le roi lui-même, celui-ci fût construit entre 1841 et 1843, soit juste après la mort du roi, intervenue en 1840. Occupé à la construction de plusieurs bâtiments dans la citadelle et à faire 142 enfants, il avait certainement surestimé le temps qui lui restait à vivre.

La nécropole est entourée d’un mur de 2,80 m de haut et long de 1732 m. Les monuments principaux sont orientés suivant un axe Est-Ouest. Pour y accéder, il faut franchir une porte monumentale située à l’Est.

Nous parvenons tout d’abord devant le Pavillon de la Stèle, de taille assez modeste. Ici, sur la cour sont alignés une série de personnages et d’animaux : Sous un édicule couvert en plomb, sont campés deux griffons en bronze doré. Puis, viennent les statues en pierre. Des officiers et soldats de la garde royale, et enfin deux chevaux et deux éléphants caparaçonnés. Cet alignement forme le « Chemin de l’Esprit ».

Au-delà, la Porte de la « Vertu Rayonnante » nous amène devant le temple du Culte appelé « Pavillon des Bienfaits vénérés ». Ce Bâtiment de bois soutenu par 64 colonnes, a beaucoup de charme avec ses riches sculptures.

Puis, nous traversons un des trois ponts parallèles construits sur le lac de la Pure Clarté, pour arriver au Palais de la Lumière, un pavillon de repos de deux étages.

Vient ensuite, l’ensemble le plus harmonieux : Devant le lac de la « Lune Croissante », sont dessinés de petits jardins, reliés à l’enceinte sacrée par un pont en pierre, à chaque extrémité duquel s’élève un portique en bronze rappelant ceux du Palais impérial de Pékin. Chacun des portiques se compose de quatre colonnes de bronze autour desquelles s’enroule un dragon. Les entrecolonnements sont formés de panneaux en cuivre émaillés illustrant  les attributs des quatre saisons. C’est le pont de l’Intelligence qui nous mène enfin au Tumulus sacré où repose le souverain, et qui est protégé par le « Mur Précieux ». Le monument funéraire est inaccessible au visiteur.

 

Ø                   LE TOMBEAU DE TU DUC

Situé à 7 km au sud de Hué, c’est sans doute le plus romantique et le plus séduisant. En fait, à Khiem Long, son autre nom, on a davantage l’impression de visiter une résidence de plaisir qu’un tombeau. C’est un peu normal puisque construit du vivant du roi qui l’appelait son Eternité, il lui servait de retraite régulière pour venir composer quelques poèmes dont il était friand, ou pour tout simplement pêcher. Ce parc abrite non seulement tous les éléments d’un tombeau royal que nous vous avons décrits plus haut, mais encore tous les bâtiments d’une résidence royale: Palais de séjour du roi, palais des femmes du harem, pavillon pour la lecture, kiosque pour la pêche et les jeux d’échecs, et même  une scène pour des représentations théâtrales de la troupe  royale composée seulement d’actrices...Le tout en harmonie avec un système de jardins fleuris où poussent des essences rares et précieuses, de lacs, d’étangs, d’îlots avec passerelles et ponts, de bois couverts de toiture, de montagnes en miniature et d’allées bordées de pins...

Tu Duc ( 1848 – 1883 ), petit-fils de Minh Mang, fût le quatrième roi de la dynastie des Nguyen. Bien qu’ayant tué son frère aîné pour monter sur le trône, il se voulait un roi poète ( il aurait composé 1600 poèmes et s’adonna également à la prose ). Malgré ses 103 femmes et concubines, il était d’une santé fragile et n’eut jamais d’enfants, mais il avait adopté 3 de ses neveux à qui il aurait voulu transmettre la trône le moment venu, pour prendre sa retraite à Khiem Long, mais il mourut avant.

La construction de ce tombeau ( comme celle des autres tombeaux ) causa de nombreuses morts parmi les quelque 3000 ouvriers qui y travaillèrent entre 1864 et 1867, mais Tu Duc daigna leur rendre hommage dans l’un de ses poèmes :

« Quelle sorte d"éternité est cette Eternité ?

   Ses murs sont construits d’os de soldats
   Ses fossés sont remplis du sang du peuple ».

Cela n’empêcha pas les travailleurs de se révolter en 1866, sous la direction de lettrés qui avaient créé le «  Cénacle des amoureux de l’alcool et de la poésie ». La « révolte des bâtisseurs de nécropoles » fût durement réprimée. Les rebelles, condamnés pour crime de haute trahison, furent exécutés. Pour calmer le peuple et l'encourager à continuer la construction, le roi a dû changer le nom "Résidence de 10 mille ans " par l'autre nom "Résidence de la Modestie" afin d'effacer ce nom ancien plein de haines, de malheurs à l'égard du peuple. Par l'intelligence et l'imagination, on a transformé le mausolée d'un mort en paradis des fleurs et des arbres, de la poésie et des rêves. Presque 50 bâtiments du mausolée portent le nom "Modestie".

L’allée par laquelle nous entrons dans la nécropole nous amène tout d’abord au bord d’un lac, où émerge une petite île sur laquelle le roi s’amusait à chasser. Au bord du lac, le roi a fait construire, en 1865, un charmant pavillon de repos, où il aimait venir composer ses poèmes.

Un escalier monumental nous mène ensuite au temple du Culte, mais ce qui est particulièrement remarquable dans cet ensemble, c’est le pavillon de la Stèle, car la stèle de Tu Duc ne pèse pas moins de 20 tonnes.

On dit que le corps du roi n’est pas dans son tombeau, mais quelque part ailleurs sous la plus haute terrasse. Les ouvriers qui creusèrent sa tombe auraient été exécutés pour qu’ils ne puissent pas révéler l’emplacement exact.

 

Ø                   LE TOMBEAU DE GIA LONG   

Gia Long , de son vrai nom Nguyen Anh, fut le fondateur de la dynastie. Né en 1762, il régna officiellement de 1802 à 1820 et fit construire son tombeau de 1814 à 1820.

Il se trouve à 15 km de Hué, sur la rive gauche de la rivière des Parfums. La nécropole de Gia Long est la plus vaste de Hué ( près de 3000 hectares ) et englobe pas moins de 36 collines couvertes de pinèdes. Ce cadre resté à l’état sauvage est très beau.

A l’intérieur de la nécropole, la disposition des bâtiments n’est pas la même qu’au tombeau de Minh Mang. Ici, le Pavillon de la Stèle ainsi que le temple du Culte ne sont pas disposés sur un axe longitudinal par rapport au tombeau, mais sur un axe transversal.

Le premier monument que nous rencontrons est le temple du Culte, ici, appelé temple de l’”Eclatante perfection”. Il est consacré au roi mais également à sa première épouse, Thua Thien Cao. Gia Long l’a fait élevé en 1815 sur le mont Bach “ la montagne blanche“, “ un des 14 sommets qui rendent hommage sur le coté droit au  mausolée du roi ”. Il est composé de deux corps de bâtiments à toiture double et d’une longueur de 22 m. Le bâtiment principal situé à l’arrière, est profond de 14 m, soit deux fois plus que le bâtiment antérieur. Au fond du bâtiment principal, dans une grande niche sculptée, laquée et dorée, et fermée de rideaux de brocart, sont placées les tablettes funéraires des souverains, portant leurs titres rituels posthumes. Dans les deux pièces sont placés tous les meubles rituels : tables d’offrandes, dont quelques unes richement sculptées, chaises, tabourets, pupitre pour la lecture de l’acte d’offrande, supports, lits de camp, chandeliers, brûle –parfums...

Devant le temple s’étend une cour dallée carrée, avec au milieu une allée en carreaux bruns aboutissant à des escaliers ornés de dragons. Des deux cotés de la cour, deux bâtiments servaient de magasins. Sur le coté antérieur, la cour est fermée par une porte à trois baies, formant un pavillon à deux étages très élégant, avec des panneaux sculptés. De l’extérieur de cette porte, la vue sur les montagnes environnantes est ravissante.

En contrebas de cette porte, se trouvent deux cours d’honneur, dominant à leur tour la route extérieure et un large étang en forme de croissant.

Après avoir contourné par la gauche les soubassements du temple du Culte, nous arrivons devant les sépultures du souverain et de son épouse, élevées sur six terrasses. Les hauts murs de l’enceinte et les cours d’honneur s’étageant harmonieusement dégagent une réelle impression de grandeur. La cour supérieure est appelée Bai Dinh que l’on peut traduire par “ la cour où l’on se prosterne “ ( sous-entendu pour rendre hommage au défunt ).

Il faut un peu escalader pour apercevoir les cénotaphes. D’égales dimensions, ils sont constitués de deux blocs de maçonnerie, en grandes pierres de taille, et autrefois couverts chacun par un toit également maçonné. Lorsque l’on se trouve derrière le tombeau, on aperçoit sur une colline deux hauts pylônes en maçonnerie. Ils avaient été élevés pour attirer les influences géomantiques fastes et détourner les néfastes.

Tout en bas, sur les bords de l’étang, se trouve la cour funéraire ornée de statues de pierre.

Le pavillon de la Stèle est situé à l’Est du tombeau sur le mont bleu. Le pavillon est imposant, mais la stèle de marbre gris est l’une des plus petites que l’on peut voir à Hué.

Il existe d’autres sépultures dans cette nécropole, le mausolée de la seconde femme de Gia Long ( la mère de Minh Mang ) et celui de la mère Gia Long. Ce dernier édifice fût construit en 1846.

 

Ø                   LE TOMBEAU DE KHAI DINH

C’est le plus récent des tombeaux royaux, mais le seul aussi à renoncer à l’architecture chinoise. En fait, ce tombeau est un délire architectural où se mélangent des styles occidentaux et orientaux. Mais il est à l’image de ce petit roi, célèbre pour ses goûts particuliers et son ostentation. Il aimait se parer d’une montagne de bijoux, avec notamment une énorme bague à chaque doigt, et dessinait lui-même ses robes d’apparat : De style traditionnel vietnamien, mais avec des épaulettes militaires européennes et des bottes militaires...

Khai Dinh régna de 1916 à 1925, fut l’avant-dernier roi de la dynastie Nguyen ( il était le père adoptif de Bao Dai ). Impressionné par l’occident au point de se faire construire un monument funéraire à la gloire du béton et sans le moindre parc paysager, il ne vit pas l’achèvement de sa folie, achevée seulement en 1931, au bout de 11 ans de travaux.

Situé à 10 km de Hué et à 2 km de la rive droite de la Rivière des Parfums, le tombeau de Khai Dinh se dresse sur une colline offrant une vue panoramique sur les autres collines. L’une d’elle porte une imposante statue de la déesse Quan Am.

Le tombeau s’étage sur une colline par plusieurs terrasses. Une première volée de 36 marches nous fait accéder à la première terrasse, entourée de temples secondaires.

Encore 26 marches et nous atteignons la cour d’honneur. On trouve les inévitables statues en pierre de mandarins, mais si vous vous étonné de leur taille modeste, on vous répondra que Khai Dinh ne mesurait que 1,40 m et n’aurait pas supporté des statues plus grandes que lui.

Le pavillon de la Stèle se trouve sur cette même terrasse.

Il ne reste plus que 47 marches pour atteindre la terrasse supérieure où se trouve le mausolée. C’est un bâtiment extraordinaire par sa décoration intérieure. On remarque tout de suite sur les murs une décoration faite de débris de céramique, de tessons de bouteilles. On y a représenté des fleurs, des arbres, des animaux, le tout étant censé représenter les quatre saisons. On dit que l’on fit venir des porcelaines des quatre coins de l’empire et que les artistes les cassèrent sur place à leurs mesures.

Le plafond de la salle de culte est décorée d’un immense ‘ dragon dans les nuages”. Le trône est surmonté d’un dais de béton pesant une tonne. Le roi est représenté par une statue grandeur nature, en bronze doré, fondue en France en 1922. La tombe que nous voyons n’est la vraie. La vraie est enfouie à 18 m sous cette salle. Le roi avait peur des vandales.

 

 

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